Carnet de voyage : à la découverte de Shanghaï
Avertissement aux lecteurs
Carnet de voyage rédigé au jour le jour entre le 20 juin et le 7 juillet 2016 à l’occasion d’un séjour dans la plus grande ville de Chine et certainement l’une des plus trépidantes au monde !
Pourquoi ce carnet de voyage ?
J’ai accumulé plus de 2000 photos, une cinquantaine de petites vidéos et j’ai pris des notes chaque jour afin de ne pas zapper certains faits, certains gestes et essayer de transcrire mes impressions quotidiennes, les réflexions que m’a inspirées cette grande ville !
Je ne serai pas objectif car j’ai d’abord voulu exprimer ce que je j’ai ressenti tout au long de ce séjour dépaysant au sens le plus littéral du terme !
J’ai un double regret car je ne pourrai pas vous faire partager autrement que par des mots deux paramètres essentiels de ce séjour : l’atmosphère et les odeurs !
Shanghai pourrait s’écrier comme Madame Raymonde (Arletty dans Hôtel du Nord) : C’est la première fois qu’on me traite d’atmosphère ! Si je suis une atmosphère, t’es un drôle de bled ! Atmosphère ! Atmosphère ! Est-ce que j’ai une gueule d’atmosphère ?
Effectivement Shanghaï est un drôle de bled où la première chose que l’on remarque en sortant de l’aéroport climatisé de Pudong, c’est bien l’atmosphère. Pour la qualifier simplement on pourrait dire qu’elle ressemble en tout point à celle d’un four à vapeur ! Chaleur et humidité sont à un tel niveau qu’une serre tropicale en comparaison est une douce plaisanterie, voire une oasis suave ! Mais je vous en reparlerai !
La deuxième chose qui m’a frappé dès le soir de mon arrivée a été les odeurs : ce n’était pas du Givenchy, ni du Chanel n°5 ! Moi qui habituellement ne sent rien, comme dirait ma chère Mimi, là j’ai été tout à fait rassuré sur les capacités de mon organe olfactif ! Mais là aussi on y reviendra !
Et maintenant place à mes notes de voyages consignées dans un joli petit carnet offert par Mimi, quelques jours avant mon départ que j’ai consciencieusement rempli !